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Bonjour,

Vous trouverez sur le site dans l'onglet"orange" et la rubrique "se former" les lettres de sécurité dont la lettre N°12 concernant la prise en charge d'un arrêt cardiaque. Bel été Françoise

En France, chaque année, encore 40 000 à 50 000 personnes meurent prématurément d’un arrêt cardiaque.

Sans prise en charge immédiate, plus de 95% des arrêts cardiaques sont fatals.

7 fois sur 10, ces arrêts surviennent en présence de témoins : 4 victimes sur 5 qui survivent à un arrêt cardiaque ont bénéficié d’un massage cardiaque pratiqué précocement par le premier témoin.

Aussi voici quelques réponses aux questions que vous vous posez

Il a été démontré que le risque de blessure grave du fait de compressions thoraciques aux victimes qui ne sont pas en arrêt cardiaque est négligeable. Au contraire, tout retard pris avant de commencer les compressions sur une victime en arrêt cardio-respiratoire compromet sérieusement le devenir de la victime. Il ne faut donc pas hésiter à commencer le massage cardiaque même en cas de doute sur la réalité de l’arrêt cardiaque.

En cas d’arrêt cardiaque, le cerveau est l’organe le plus affecté par une circulation réduite. En absence d’irrigation pendant cinq minutes, des dommages irréversibles se produisent. Le muscle cardiaque est le second sur la liste par ordre d’importance. C’est pourquoi une réanimation sans séquelles neurologiques n’est possible que si le massage cardiaque est efficace.

Masser un cœur,  n’est pas compliqué, mais il faut avoir appris pour être efficace. Pour cela apprenez, révisez régulièrement (au moins tous les 5 ans) les gestes qui sauvent. Evoquez mentalement ces gestes fréquemment. C’est comme les nœuds…

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